The Bells Angels, Life Pedal, 2020
A propos de...
The Bells Angels (Julien Sirjacq & Simon Bernheim), Life Pedal, 2020
Acrylique Flash, Aérographe et sérigraphie sur toile 162 x 130 cm
Quand nous nous sommes mis en duo, nous avons commencé par faire un fanzine qu’on a considéré comme un split, un vinyle fait par deux musiciens avec une face chacun. Le premier zine des Bells Angels lançait cette impulsion en remettant en question la figure romantique de l’artiste et du travail en atelier, où chacun avance dans son coin. Dès le départ, on avait le désir d’être comme un groupe de musique. Notre nom est issu d’une idée que nous avions de faire une pièce avec des cloches, des cowbells utilisées par les percussionnistes. Nous ne l’avons jamais faite mais nous avons gardé le nom. D’ailleurs, dans le fanzine de l’exposition nous allons surement mettre des cloches ! Retour aux sources.
La peinture présentée dans l’exposition représente des pédales de distorsion, des objets qui sont placés entre un instrument et un ampli pour filtrer le son et le modifier. C’est exactement la même chose que les filtres dans le logiciel Photoshop de la suite Adobe utilisés pour modifier les images, toujours dans la continuité du lien entre la musique et les arts plastiques et le graphisme. Il y a beaucoup de noms en commun dans la manière dont on modifie l’image et le son : le noise, les patterns, les distorsions... Dans les noms des pédales d’effet, on retrouve même le pdf ou bitmap ! Cette peinture est comme un tableau de contrôle de retraitement, distorsion et amplification d’informations, que ce soit des signaux sonores ou bien d’images.
Acrylique Flash, Aérographe et sérigraphie sur toile 162 x 130 cm
Quand nous nous sommes mis en duo, nous avons commencé par faire un fanzine qu’on a considéré comme un split, un vinyle fait par deux musiciens avec une face chacun. Le premier zine des Bells Angels lançait cette impulsion en remettant en question la figure romantique de l’artiste et du travail en atelier, où chacun avance dans son coin. Dès le départ, on avait le désir d’être comme un groupe de musique. Notre nom est issu d’une idée que nous avions de faire une pièce avec des cloches, des cowbells utilisées par les percussionnistes. Nous ne l’avons jamais faite mais nous avons gardé le nom. D’ailleurs, dans le fanzine de l’exposition nous allons surement mettre des cloches ! Retour aux sources.
La peinture présentée dans l’exposition représente des pédales de distorsion, des objets qui sont placés entre un instrument et un ampli pour filtrer le son et le modifier. C’est exactement la même chose que les filtres dans le logiciel Photoshop de la suite Adobe utilisés pour modifier les images, toujours dans la continuité du lien entre la musique et les arts plastiques et le graphisme. Il y a beaucoup de noms en commun dans la manière dont on modifie l’image et le son : le noise, les patterns, les distorsions... Dans les noms des pédales d’effet, on retrouve même le pdf ou bitmap ! Cette peinture est comme un tableau de contrôle de retraitement, distorsion et amplification d’informations, que ce soit des signaux sonores ou bien d’images.