Résidence Territoriale de Célestin Spriet
Vous êtes gays, lesbiennes, trans ? Vous avez plus de 60 ans ? Vous rêvez de jouer dans un film ? Venez partager avec nous le moment où vous avez franchi la porte du club !
Célestin Spriet, artiste vidéaste et cinéaste, travaille sur la mémoire des lieux où ont pu se rencontrer les personnes lesbiennes, gays, bisexuelles, trans, queers, intersexuées, asexuelles (LGBTQIA+), à une époque où elles n’en avaient pas le droit.
Qu’est-ce qui permet, un jour, de pousser la porte de lieux communautaires ? De quelles émotions est-on chargé quand on pousse la porte ? Ce projet invite par le tournage d’un film à revenir sur le moment décisif où l’on franchit le pas.
Guidé par la découverte d’un club gay mythique du Paris des années cinquante, au doux nom d’Arcadie, l’artiste cherche à remonter la mémoire des lieux et des personnes queer qui l’ont précédé. Alors que l’homosexualité était encore pénalisée, les communautés LGBTQIA+ ont créé des espaces où, une fois la porte franchi, iels pouvaient enfin danser, se rencontrer et exprimer leurs identités. A partir des récits personnels des participant·es, Célestin propose de reconstituer un lieu symbolique qui deviendra le décor d’un film d’art.
Qu’est-ce qui permet, un jour, de pousser la porte de lieux communautaires ? De quelles émotions est-on chargé quand on pousse la porte ? Ce projet invite par le tournage d’un film à revenir sur le moment décisif où l’on franchit le pas.
Guidé par la découverte d’un club gay mythique du Paris des années cinquante, au doux nom d’Arcadie, l’artiste cherche à remonter la mémoire des lieux et des personnes queer qui l’ont précédé. Alors que l’homosexualité était encore pénalisée, les communautés LGBTQIA+ ont créé des espaces où, une fois la porte franchi, iels pouvaient enfin danser, se rencontrer et exprimer leurs identités. A partir des récits personnels des participant·es, Célestin propose de reconstituer un lieu symbolique qui deviendra le décor d’un film d’art.
Après plusieurs rendez-vous ensemble et des entretiens individuels, un film est tourné en novembre 2024 et intègre la deuxième exposition de la Grande saison du Centre Culturel Jean Cocteau, ouvrant ses portes le 6 février 2025.