Découvrez les créateur·ices de Lil’Art 2021

Je suis créatrice de bijoux depuis plus de quinze ans et j'aime travailler autour des formes organiques et végétales. Je travaille les métaux précieux, argent, laiton, or et la porcelaine froide en modelage.
Mes bijoux sont légers, poétiques et délicats, une attention tout particulière est apporté à la couleur.

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"Staykova Céramique" réalise des pièces en grès et en porcelaine mêlant charme, élégance et finesse. Dans son atelier, la céramiste dessine et décline ses collections avant de couler, tourner, tailler le plâtre qui va donner forme à ses céramiques.
L'accord entre un détail singulier et la forme générale de la pièce est le signe distinctif des créations de "Staykova Céramique " : un galbe généreux dévoile une anse anguleuse, une pièce blanche est ponctuée par une « apostrophe » dorée... Et pourtant... par conséquent, l'ensemble est en parfaite harmonie.


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La paille un matériau si simple et pourtant si éblouissant.
Ce matériau peu connu est utilisé en marqueterie depuis plus de 300 ans, sur plusieurs continents. En Europe (France, Italie, Allemagne, …) et en Amérique du sud.
La paille connait un regain d’intérêt depuis quelques années.
Sa principale qualité, une brillance naturelle due à la présence de silice dans les fétus de paille.
Après l’obtention en 2016 de mon diplôme d’ébéniste, je me lance dans ma passion la création d’objets de décoration.
Pour mes créations je m’inspire des années 30 période art déco ainsi que des motifs traditionnels du travail de la marqueterie (damiers, point de Hongrie, soleil, …) et selon mon inspiration.
La paille se marie très bien avec les formes géométriques.
Je créé des objets de décoration, des petits meubles ainsi que des tableaux.
Je travaille également sur mesure pour des décors muraux ou de la personnalisation de meubles ou d’objets.

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Ce que j’aime tout particulièrement ce sont les histoires et le design. Et la céramique me permet de mixer les deux en créant des objets du quotidien qui s’appuient sur la recherche de formes, de couleurs, de graphisme et de symboles pour tenter de répondre à des besoins d’aujourd’hui.

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Je réalise des sièges résolument à part, je joue avec les contrastes, les harmonies et les lignes. Dans une démarche Écoresponsable, je redonne vie à des assises (mais pas seulement) destinées à la casse. Je choisi mes « carcasses » en fonction de leurs lignes et de leur qualité avec une affection particulière pour le mobilier des années 50.
Après leur restauration complète (travail sur bois, garniture traditionnelle (crin) ou contemporaine (mousse), j’associe tissus, matières et couleurs et réalise des pièces uniques qui n’attendent que le coup de cœur ;-)

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Jerus Luciana est une architecte, designer et illustratrice brésilienne arrivée en France en 2018.
Son travail se situe à l'intersection du graphisme, de l'illustration et de l’architecture.
Sensible à la couleur et aux conceptions géométriques, elle aime expérimenter divers dispositifs
graphiques de manière ludique, poétique et parfois même didactique.

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Je fabrique des objets utilitaires pour qu’ils soient manipulés, qu’ils accompagnent nos rituels quotidiens et qu’ils mettent en majesté leur contenu : des fleurs, un repas, une lumière …

Mon inspiration vient essentiellement de la Nature, d’où mon intérêt pour la matière et les surfaces plutôt irrégulières et imparfaits qui invitent au toucher.

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Doucho propose une gamme de savons et shampoing bio et végan saponifiés à froid.
Ils sont fabriqués de façon artisanale grâce au procédé de la saponification à froid avec un surgras de 7%.
Ce procédé chimique permet d’obtenir des savons très doux et très hydratants.
Les savons Doucho sont sous mention Nature et Progrès et Slow Cosmétique.

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Je crée des pièces utilitaires et artistiques en grès, cuites à 1280°.
Le tournage me permet de créer diverses séries : bols, chopes, salières, services à thé, assiettes, etc.
Le travail à la plaque me donne l'opportunité de créer des pièces uniques suivant l'inspiration du moment.
Mon fil conducteur chemine entre des formes épurées, simples et des couleurs chaleureuses à partir d'émaux que je fabrique.

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Je recycle toutes les boites de conserve. Cette 2eme vie leur permet différents usages pots à crayons, cache-pot, tout rangements pour la salle de bain etc.. Celles ayant un couvercle peuvent accueillir des aliments secs. C’est un travail de peinture, l’univers est très pep s, les couleurs joyeuses.

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Recherches personnelles.

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Passionnée par le fait main et par la décoration j’ai décidé de faire des créations en résine et en jesmonite. Ce mélange de matières, de couleurs, d'objets reflète mon univers artistique. Je réalise des créations entièrement personnalisables pour que chacun puisse s’y reconnaître. En alliant résine et jesmonite, je crée des objets tels
que des plateaux,sous tasses,portes clés…

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Je créé et fabrique des bijoux aux Lilas.
Mes inspirations sont les arts décoratifs, la nature, les voyages.
Les Pierres fines, les perles de bohèmes ainsi que les délicates perles de verre Miyuki sont la base de mon travail.
J’utilise des chaines et apprêts en laiton dore à l’or 24K ou de l’argent 925.


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Je participe à Lil’Art depuis sa première édition et depuis, j’essaye de me renouveler chaque année. J’ai suivi une formation de designer surface et textile à l’école ESMOD de Paris. J’ai démarré dans la mode féminine, pour me spécialiser très vite dans le secteur de l’enfant et du « tout petit ». Depuis quelques années, je préfère ne plus me limiter, et mes créations sont diverses et éclectiques. Elles peuvent être des bijoux, de la papeterie, des objets décoratifs… Petite fille je m’ennuyais, alors je tripatouillais continuellement différentes techniques, trouvées dans les livres. Cela donne aujourd’hui un univers ludique, coloré et plein d’humour aussi.

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Réalisation de bracelets, colliers et porte-clés en crochet.

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Designer de mobilier et d’espaces publics pendant près de trente ans, Eric explore à
présent une pratique plus douce, fantasque, parfois imprévisible à travers le grès émaillé,
parfois sculpté, parfois tourné. Mais l’amour du design reste présent et c’est bien la
rencontre des deux disciplines qui se produit dans son travail. Fasciné par la recherche
permanente, ses céramiques sont essentiellement des pièces uniques, formant parfois des
familles exploratoires mais jamais identiques, toujours renouvelées.

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Je pratique la mosaïque depuis presque 2 ans, et très vite j’ai évolué vers un style très personnel de décoration qui mixte ; au gré de ma fantaisie :
Nacre ; bijoux, bois et tesselles de verre ; miroirs, perles ficelles ; chaines …… tout ce qui peut m’inspirer …
J’utilise mes matériaux pour décorer des meubles, plateaux ; boites ; vases ; miroirs ;
Ce qui me caractérise est un style très kitch et original.


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Après un parcours en décoration dans le cinéma, aujourd’hui artisane matiériste coloriste, j’utilise des matières nobles et écologiques : la terre, la chaux et le staff. Artisane en décor mural, créant des gammes d’enduits décoratifs mise en couleur, je souhaite repenser les intérieurs, se réapproprier l’espace, en courbe et en volume, inspirée par les vents, les ondes, le végétal.

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J'aime proposer des bijoux colorés qui restent sobres, graphiques, élégants et délicats, « de bon goût ». Ils allient plusieurs matériaux, l'email, le laiton doré à l’or fin, l’acier inoxydable, l’acétate. J’adore composer des boucles d’oreilles, elles reflètent l’énergie de la Bretagne, le mouvement, ses couleurs. On les choisit pour une tenue, pour leur forme graphique, pour leurs couleurs, leur finesse. Elles « habillent » un visage, attirent le regard.


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Créations textiles

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Atelier de fabrication de poupées tissus ou tricot et autres objets au bénéfice de l’UNICEF.

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Dans ma pratique de la céramique, j’ai commencé par la sculpture et le modelage, mais assez vite j’ai eu envie de travailler sur les pièces de la vie quotidienne (autour de l’art de la table), essentiellement au tour ou à la plaque sur grès. En parallèle la découverte du Japon, de son approche esthétique (le « wabi-sabi ») et de sa céramique (forme et décoration) restent mes sources d’inspiration pour mon travail.

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Passionnée de textile, de fil, de dessin, et après avoir pendant des années exploré le monde du chapeau, j’approfondis l’univers si vaste du fil, du trait et continue de tisser le lien autour du fil de métal et d’un travail autour du crochet.
Le crochet donne au métal, comme le tissage une fonction de seconde peau et une dimension vivante, sensuelle, mystérieuse, infinie et accidentelle parfois.
Je vous propose de découvrir cette matière à travers quelques objets agréables à regarder, toucher, sentir, porter...

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Notre collectif articule ses créations autour d'un travail basé sur les textures et la couleur et l'utilisation de différentes matières et matériaux, comme le tissu, la laine, le fil et le papier, avec des techniques artisanales, comme la couture, les arts du fil ou encore l'origami.

Nous essayons dans la mesure du possible de travailler avec des tissus anciens ou du matériel acheté en brocante ou en recyclerie.

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Isalain est né d’un amour du fait main avec l’envie de travailler les matières naturelles durant l’été 2018.
Création d’objets de décorations en corde recyclée et teintée avec de la coloration végétale, réinventer le macramé, le moderniser en particulier pour les chambres des petits.
Une envie de revenir à l’essentiel, renouer avec le naturel dans notre maison.



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Il y a quelques décennies avec mon fils et sa sœur nous avions inventé un jeu, une simulation de combats voire d’entraînements entre magiciennes & magiciens qui consistait à créer des sorts, 3 par joueuse.eur.s puis de les retenir (les siens et ceux des autres) pour pouvoir jouer ensemble et l’un.e contre l’autre.
Un tableau de jeu s’était ensuite ajouté pour donner du rythme aux parties.
Ce jeu, La Magicieuse, ne fut joué que 2-3 fois.
Plus proche de nous, vint cette poussée folle et rafraîchissante de concrétiser de beaux projets livresques qui jusque-là sommeillaient !
La Magicieuse, d’un jeu familial et lilasien, est devenue une créature littéraire et protéiforme, elle s’est réveillée changée et ouvre maintenant ses pages, à travers ses 5 collections qui vont de la littérature jeunesse au roman graphique adulte, elle aborde le spectacle vivant et le théâtre ainsi que de beaux livres hybrides.

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La Tamanoire Bleue, est une vieille sorcière sortie du fond des âges. Elle ne comprend rien au monde moderne, aussi, elle essaye de le mettre en bouteilles et d’en créer des bijoux. Au fond de son atelier les potions bouillonnent et les alambics fument. Grace à sa magie, les objets se transforment et prennent un tout autre sens, dans un univers coloré et peuplé de drôles de petites créatures apprivoisées.

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Papier Mobile est une collection d'objets graphiques et colorés - mobiles et illustration - découpés dans de beaux papiers respectueux des forêts. Ils sont dessinés, fabriqués et assemblés à la main en petite série dans l'atelier de Nadège Tricot à Paris.

Voici bientôt deux ans que j'ai commencé à m'intéresser au cuir. C'est une amie tapissière
qui s'est mise à la maroquinerie, il y avait pas mal de chutes dans la poubelle de son atelier, des micros trucs qu'elle ne pouvait pas recycler. J'ai trouvé la matière agréable et légère, trop belle, pas possible de gâcher ça (en bonne Auvergnate ;-)).

Comment recycler tout ça ? J'ai sans doute vu des modèles sur Pinterest ou Instagram
qui m'ont donné envie d'essayer. J'avais aussi envie de créer des choses de mes mains,
de créer mes propres modèles. J'ai appris, me suis perfectionnée, écouté les bons
conseils de mon amie tapissière.

J'ai pu faire mon premier marché créateur à Paris 19ème
avec l'association Tendance 19, rencontrer d'autres créateurs ce qui m'a permis de
rejoindre d'autres collectifs, ou d'organiser un petit pop-up store pour la fête des mères.
J'ai depuis récupéré aussi des chutes de tissus de mes amies créatrices, que j'associe à
mes créations en cuir pour de belles finitions. Maintenant je travaille entre l'Auvergne, où
est maintenant mon stock et mon matériel de découpe et mon appartement à Paris ou
j'assemble, je colle, je perce. Fini les diners sur la table de la salle à manger totalement
envahie.

Étranges Palimpsestes, ce sont des carnets faits main au charme désuet d’un livre ancien. Certains modèles sont ornés de linogravures imprimées sur du papier de vieux livres chinés dont les illustrations s’inspirent d’images d’archives dans l’esprit d’un cabinet de curiosités. Chaque modèle est unique et peut servir au dessin, à l’écriture ou au bullet journal. Rien ne se perd : les chutes de papier sont utilisées pour réaliser des livres miniatures, montés sur sautoir ou boucles d’oreilles.

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L'atelier Q est un studio de céramique créé en 2019 à Pantin par Cécile Quéguiner.

Elle y tourne des grès de diverses couleurs et textures pour fabriquer des objets graphiques, épurés et souvent ornés d'un détail-signature, clin d'oeil à celui qui sait les observer.

Ces objets se veulent résolument utiles et polyvalents (des boîtes à vrac, des bols-couvercles, des plateaux-hublots...), mais aussi ludiques et poétiques (vases communicants ou variation en bols majeurs).

Cécile s'attache à faire de chacun d'eux une invitation au voyage, à travers leurs formes inspirées de l'art précolombien, leurs profils rugueux rappelant les chemins creux de sa Bretagne natale ou leurs émaux complexes faits-maison évoquant tempêtes et constellations lointaines.

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Passionnées de voyage, nous parcourons le globe et profitons de nos déplacements pour acheter des tissus originaux et nous inspirer pour nos créations. Nous réalisons essentiellement des pochettes, des trousses et des sacs et bien entendu, notre spécialité, des carnets de voyage en tissu. Nos toutes premières créations, il y a une quinzaine d’années, étaient des marque-pages. Nous avons conservé cette habitude et en proposons de nouveaux pour chaque salon. Notre frère, artiste peintre en Normandie, nous fournit des illustrations à l’encre, des pastels ou des gravures que nous proposons sous diverses formes et qui résonnent avec notre univers coloré.

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Je suis autodidacte et manuelle, j’aime créer et découvrir de nouveaux matériaux et nouvelles techniques. J’aime la nouveauté et la satisfaction que ce que je crée plaise.

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Les créations IDOA AUGUST sont imaginées, créées et
confectionnées en séries limitées dans mon atelier au Pré Saint-Gervais selon un savoir-faire artisanal.
J’apporte un grand soin à la qualité, au choix des matières (laine, velours, coton, crêpe, jersey, soie…) aux finitions et aux détails de chacune de mes pièces.

Mes vêtements confortables sont des essentiels du vestiaire féminin, ils conjuguent l’élégance et les lignes épurées.

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Dans le domaine de la mosaïque, j’ai surtout développé la technique dite « Picassiette », faite à partir de débris de céramique. J’aime travailler avec différentes matières comme la vaisselle, pâte de verre, miroirs, émaux brillant et mat qui apportent du relief aux créations. Je pars de morceaux de vaisselles cassées à motifs qui m’inspirent et je forme ma palette de couleur. Cette année, toujours dans le domaine du recyclage, j’innoverai avec des objets en cuir.

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Je trouve mon inspiration un peu partout, mais principalement dans les sciences, dans tout ce qui est organique et bien évidemment, chez Mère Nature. Le verre, qui est au centre de mon travail, permet cette alliance entre poésie et science, car le jeu avec la lumière et sa réfraction sont centraux : en fonction de comment la lumière est placée, toutes mes œuvres se transforment. L’autre axe de mon travail est le jeu avec les couleurs. Le verre en possède un panel très riche, qui émerveille aussi bien les adultes que les enfants. J’aime ainsi rendre le vitrail plus accessible et plus ludique, et savoir que ma petite poésie va intégrer des chaumières est une grande satisfaction.

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Je fabrique des objets poétiques en céramique, des pièces uniques et de petites séries d’objets colorés, ludiques, sensibles, qui véhiculent la rêverie et la poésie.
Mon travail est fonctionnel mais aussi sensible et poétique, souvent inspiré par la nature et la mer.
Je fabrique entièrement mes émaux (couleurs) à partir de matières premières : sables, argiles, craie, oxydes naturels… des recettes très proche du verre.  J'ai un côté artiste qui teste et improvise à l’instinct pour découvrir de nouvelles méthodes de fabrication.
J'ai une approche sensible, instinctive et très libre qui laisse une grande place à l’imprévu du feu.
J'aime évoquer le mystère, la sensibilité, la magie, l'émotion, le caractère unique que l’on ne retrouvera pas dans un objet industriel.

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Création de bijoux et accessoires d’inspiration vintage.
Travail graphique de visuels, que j’insère dans différents supports de bijoux, boucles d’oreilles, collier…
Travail également de la broderie en soutache et l’argile de polymère.



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Popenguine est un village en bord de mer sur la Petite côte du Sénégal. Couturier styliste, j'y suis né et j'y ai appris mon métier. Pendant plusieurs années j'avais mon atelier tout près de la plage et je proposais mes créations sur mesure aux habitants du village et aux visiteurs. J'étais connu là-bas pour le soin et l'originalité que j'apportais à mon travail : vêtements, sacs, accessoires de mode, décoration d'intérieur associant le style et les tissus africains avec une touche occidentale.
En 2016, je m'installe en région parisienne, et présente mes nouvelles créations entièrement réalisées par mes soins. Mon univers coloré et chatoyant marie wax africains et tissus d'ici aux travers de modèles uniques ou en très petites séries. Je personnalise et réutilise également des pièces déjà existantes que j'intègre dans mon processus créatif.

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Je travaille la laine cordée pour créer des sacs ou des animaux. J'aime expérimenter de nouveaux univers et créer au fil de ma passion.

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Bérengère Staron • Anne Roffet • Marie-Lise Gonzalez
illustration-peinture • bijoux broderie • linogravure

Pour l’édition 2023 de Lil’art, nous souhaitons travailler autour du thème du cœur et des émotions, que nous déclinerons avec nos techniques et outils respectifs sur des supports tissu et papier, où la broderie interviendra par dessus les images peintes ou imprimées en linogravure.

L’idée est de jouer avec la délicatesse et la rudesse, la couleur et le trait noir, le foisonnement et l’épure.
Et de travailler au maximum sur des supports de récupération.

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Nous sommes un collectif et réalisons des ouvrages en commun ou individuellement avec des tissus de tous types et couleurs, avec des fils à broder en mettant en pratique les techniques d’art textile de différentes natures comme patchwork et broderie.

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Passionnée de couture, cela fait 3 ans que je développe mon savoir-faire et que je réalise des accessoires en tissu dans les domaines de la mode, de la décoration, du zéro déchet, de la cuisine... Je prends toujours autant de plaisir à choisir des tissus graphiques et colorés et à les associer pour réaliser des pièces uniques, tendance et toutes différentes les unes des autres. Mes créations sont « entièrement fait-main » et j’accorde beaucoup d’attention à la qualité de leurs finitions. Pour ma 3ème participation à Lil'Art, il me tient à cœur de développer ma gamme de produits réutilisables et zéro déchet. Notre futur passera indéniablement par des démarches écoresponsables, soucieuses et respectueuses de l'environnement.


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Créatrice de bijoux uniques et personnalisables sur demande.
Uniquement sur la base du laiton et de l’acier avec des perles de verre (Murano + cristal…).

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Notre association a pour objectif d’encourager la diversité culturelle et d’expliquer aux enfants le métissage à travers la musique et la lecture. Accompagnés par des musiciens et artistes professionnels, nous enregistrons des enfants de Seine-Saint-Denis et leur faisons découvrir le travail en studio d’enregistrement. Nous réalisons ainsi des livres musicaux autour de différentes cultures du monde : le Brésil, l’Afrique de l’Ouest, l’Inde, le Maghreb, l’Amérique latine, la Nouvelle-Orléans, le monde créole, l’Angleterre, et la nouveauté 2022 : le monde celte.
En 2021 nous avons également édité, avec l’association Le jeu pour tous, un jeu de 7 familles qui représente toutes les diversités : familles recomposées, mixtes, mono ou homoparentales, adoptantes, ainsi qu’une grande diversité dans les lieux de vie, les couleurs de peaux, les formes de corps, les handicaps…

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Petit gribouilleur explorateur de l'étrange, traversant monts horrifiques, fleuves poétiques et plaines biomécaniques, deviendra, un jour peut-être, grand peintre ambulant... J’aime dessiner et questionner les corps, me confronter au bizarre et à l’indicible, montrer l’horreur et les merveilles des mondes de l’étrange qui me fascinent.


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L'art du pliage du papier est une technique traditionnelle originaire du Japon, connue notamment par son modèle le plus populaire, la Grue, symbole de paix.
Les bijoux origami ZEST' sont réalisés en papier washi et sont assemblés avec des matériaux nobles (plaqué or, gold filled, argent 925) pour donner des bijoux originaux et colorés de qualité.
J'ai développé également une collection chic non origami, minimaliste avec des pierres semi-précieuses.
Toutes mes productions sont faites main et sont donc des pièces uniques.

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Flora est designeuse-céramiste, les recherches de matières et de couleurs sont le centre de son
travail. A travers ses expérimentations, elle cherche à recréer un lien avec les lieux que nous
habitons, à dévoiler les histoires et les trésors cachés des matières qui nous entourent.
Marianne est designeuse textile, sa pratique se situe à mi-chemin entre artisanat et design, avec un
intérêt marqué pour l’impression, le motif et la couleur. Les aléas maitrisés et l’expérimentation ont
une place centrale dans son processus de création.
Ensemble nous avons créé Dé-teintes, un atelier multidisciplinaire autour des couleurs naturelles.
Nous développons des projets durables et sensibles, expérimentons autour des matériaux et
pigments que l’on récolte, partageons nos connaissances, rencontrons des créateurs, voisins, amis
pour construire un espace créatif et bouillonnant !

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Tess est une céramiste jamaïcaine de l’Ecole d’arts EDNA MADNEY à Kingston. Elle obtient une bourse en 1992 pour poursuivre ses études des Beaux-Arts à l’Ecole Centrale des Arts et du Design de Pékin, après une année d’apprentissage de la langue chinoise.

Tess et Guillaume se rencontrent à Pékin en 1995, célèbrent leur mariage à Kingston en 1997 et s’établissent en Chine où ils résident jusqu’en 2008.
A leur arrivée en France avec leurs trois enfants, Tess prend le rôle de femme au foyer pendant une dizaine d’années et apprend la langue et la culture française.

Au sortir des restrictions sanitaires, Tess s’inscrit en « atelier libre » chez Maxence Jourdain à Belleville pendant quelques mois (rue Julien Lacroix).

En juin 2022, Guillaume se renseigne sur les coopératives et ils choisissent COOPCONNEXION pour lancer l’activité de Tess. C’est justement à ce moment qu’une place se libère chez Maxence où elle peut travailler « en résidence ». Tess signe un Contrat d’Appui pour un Projet d’Entreprise (CAPE) auprès d’une Coopérative d’Activité et d’Emploi (CAE) du nom de COOPCONNEXION, sis au 18 rue Victor PICARD, à LENS (Hauts de France). Guillaume s’inscrit comme conjoint collaborateur.

Le Collectif des Artisans de Belleville permet à Tess de se faire connaître lors des Journées des Artisans de Belleville et du Marché de Noël 2022 à la Maison de l’Air, 27 rue PIAT.

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Nous partageons le même atelier au sein duquel nous utilisons le même matériel, et les mêmes matériaux, grès, porcelaine, émaux. Nous possédons une volonté commune de recycler au maximum les matériaux, et nous utilisons déjà du matériel de récupération, telles que planches, bassines, et autres... Nos créations sont enrichies par nos échanges au sein de ce lieu. Nos réalisations représentent un style propre à chacun, bien que de nos trois énergies créatrices individuelles se dégage un univers commun.


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Partir d’une boule de terre, et arriver en quelques minutes à une pièce achevée sur le tour de potier, me semble être le symbole même de la création.
Il y a 10 ans, j’ai rencontré Julia, de l’Atelier Khumari.
Travailler le grès et la porcelaine à ses côtés m’a permis d’acquérir une certaine technicité.

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Univers épuré empreint de simplicité. Esthétique tout un chacun à chaque moment de sa vie ;
Présent reflétant des moments de détente et de joie.
Volonté de parfaire le miracle d’un évènement de vie : heureux anniversaire, mariage, naissance.

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Création et impression textile sur du lin pour la décoration intérieure :
L'harmonie de la nature est ma source d'inspiration pour créer des motifs que j'imprime à la linogravure sur du lin naturel, coloré ou teinté à la teinture végétale.
Les nuances et les variations subtiles qu'offre le processus de cette technique donnent une ambiance vibrante, chaleureuse et personnelle à la décoration de la maison.

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Inspirée tant par la culture japonaise que par l’Angleterre victorienne, une sensibilité littéraire, sa perception onirique du réel guide sa création.
La porcelaine papier lui permet de réaliser des sculptures suspendues, graciles et expressives. Le grès parfois mélangé à des corps étrangers, engobé et émaillé plusieurs fois donne sa puissance et sa présence à ses pièces utilitaires.

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Graphiste et illustratrice, Florence Roullet Boyer aime fabriquer des images poétiques et ludiques, destinées aux enfants que nous sommes toutes et tous.
Après la création des petits mondes (boîtes et flacons accueillant des collages miniatures), elle continue à façonner des microcosmes à l’aide de son pinceau. L’aquarelle et son médium de prédilection, l’eau, font naître un univers onirique, directement inspiré du monde animal et végétal.

L’harmonie des couleurs, la légèreté, la poésie, la minutie du geste, l’évocation, sont autant d’éléments que je retrouve dans le travail du washi. Je propose des objets pliés, des bijoux, des luminaires à partir de ce matériau d’art simple (en apparence) et léger.
Le washi est un papier traditionnel japonais, composé de fibres de mûrier, ce qui lui donne sa texture et son aspect. Il est utilisé depuis plus de mille trois cent ans et fait partie intégrante de l’esthétique traditionnelle japonaise. Il peut être brut ou raffiné, transparent ou opaque, d’apparence fragile mais résistant. On peut dire qu’il tient sa beauté de ses paradoxes.

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La figure stylisée et hybride est l’élément central de mon travail.
Ces « portraits imaginaires » se décomposent en formes géométriques, jouent sur des volumes qui structurent les différentes influences (Afrique, cubisme, Gaudi…).
Le mélange des matières fragmente la figure pour la recomposer en une mosaïque d’effets et de couleurs.
L’accent est mis sur l’axe des figures dans une fausse symétrie.
L’œil invite au regard, la bouche au dialogue.
Cette figuration poétique et joyeuse évoque les histoires fantastiques de notre enfance. Ce sont des contes visuels que chacun peut s’approprier.

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Passionnée par l'art et la créativité, passionnée par la peinture sur bois, le verre et le tissu, j'ai exercé la création sur tissu depuis 2016. J'aime les pratiques artistiques traditionnelles berbères, les activités manuelles. La préservation de la terre mère est important pour moi. Je pratique également avec mes élèves, je suis professeure d'anglais, des activités manuelles en anglais.

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Après des années de création de poupées de laine, la collection s'étoffe avec des sacs à main et des accessoires, tels que des bandeaux de tête, des écharpes et des bonnets.

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Retrouvez-la sur le stand 19

L’atelier Non Sens est un binôme constitué d’un plasticien et d’une vitrailliste. Nous travaillons le verre en jouant avec la lumière, les couleurs et les formes. Notre approche du vitrail est résolument moderne. Nos créations proposent des objets aux lignes épurées et géométriques.

Retrouvez-les sur le stand 6

Nous développons un collectif tourné sur les métiers du numérique et de l’artisanat local et durable. Ce collectif est une préfiguration d’une coopération de pluriacteurs/actrices en vue de la création d’un tiers lieu aux Lilas.

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Né à Qingdao, Jinjin SUN réside et travaille en France depuis 2004.

Elle a étudié à l'Académie centrale des beaux-arts (中央美术学院) en Chine avant de passer à l'École des beaux-arts de Marseille en France pour perfectionner ses compétences en arts-plastique.

Depuis de nombreuses années, la céramique fait partie intégrante de la pratique de Sun, et
est intrinsèquement liée à sa démarche créative. La recherche et le travail sur les matériaux sont une partie cruciale du travail de Sun, qui se reflète également dans ses projets de céramique.

L'utilisation du bois, des feuilles, des tissus, des produits aquatiques, des encres graphiques... tout a contribué à créer un corpus très riche dans sa quête pour trouver la technique et la matière qui véhiculent sa poésie, qui explore la relation entre l'homme et la nature.

Retrouvez-la sur le stand 101

Flor est une jeune marque de bijoux en porcelaine qui utilise la technique du photo-transfert afin de décorer les pièces à partir de photographies
personnelles. Cette technique rend donc chaque pièce unique.

Retrouvez-la sur le stand 58

Je pratique la mosaïque depuis presque 2 ans, et très vite j’ai évolué vers un style très personnel de décoration qui mixte ; au gré de ma fantaisie :
Nacre ; bijoux, bois et tesselles de verre ; miroirs, perles ficelles ; chaines …… tout ce qui peut m’inspirer …
J’utilise mes matériaux pour décorer des meubles, plateaux ; boites ; vases ; miroirs ;
Ce qui me caractérise est un style très kitch et original.

Retrouvez-la sur le stand 86

SewOrigin veut littéralement dire: Couture Origin. Les origines de la couture. Nous avons souhaité revenir au savoir-faire ancestral, originel. SewOrigin est une marque Ethique, Street-Wear et Inclusive.

Dans un monde en constante évolution, nous visons à trouver le parfait équilibre entre futur et traditions en exploitant des techniques artisanales centenaires issues de tribus du Maghreb et plus largement d’Afrique entière. Notre vision se rapproche de celle de YOHJI YAMAMOTO et de celle de Rick Owens, en créant des modèles futuristes et originaux. Chaque pièce porte en elle-même de manière insidieuse ou parfois plus prononcée un détail, une évocation de ces cultures qui sont la base de toute l'industrie d'aujourd'hui, ce par quoi tout a commencé. Il ne s’agit pas d’un hommage, mais de notre ADN.

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Le duollectif des Gouineuses commet des créations écoféministes en autoproduction : papeterie, affiches, sérigraphie, linogravure, vidéos, photographie, fanzines, ARTivisme en tous genres œuvrant pour la convergence des luttes et l’intersectionnalité.

Nos créations s'inspirent de l'art militant et de l'histoire des luttes. Nos univers sont une invitation au travail de l'art tout terrain. Notre utopie : panser les maux par les mots et s'émanciper de toutes les formes d'injustice.

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Illustratrice et graphiste depuis 15 ans, passionnée d'art et épicurienne !
Je cherche à exprimer par le dessin le fondu des couleurs, la légèreté, la sensualité et la séduction, de ceci se dégage la volupté des motifs essentiellement végétaux et floraux inventés ou réalistes, tels que la jungle, les couronnes de fleurs, bouquet, les roses, les pivoines, les petites fleurs des champs, des fruits et des légumes.
Je souhaite au travers les couleurs faire passer des émotions à celui qui regarde, l’importance c’est de toucher le sensible ».
L’émotion à travers la couleur est ce que je recherche en premier, peu importe le sujet, la technique employée. J’utilise principalement l’encre, l’aquarelle, parfois les crayons, les feutres, les pastels ou le fusain.

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Prenez quelques graines,
un peu d’argile,
un zeste de savoir-faire.
Ajoutez-y des petites histoires, celles de tous les jours,
une pointe d’émotion,
un soupçon de poésie,
un brin d’humour.
Et pour finir, saupoudrez d’amour.
Voilà pour l’essentiel.

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Artiste visuelle polyvalente, Aurélie crée des images pour la vulgarisation des sciences ou pour le plaisir des yeux. Depuis la rentrée 2022, elle enseigne les arts plastiques en école primaire parisienne. De 2012 à 2022, elle participe au spectacle « NEW COMEDIE MUSICALE IMPROVISEE » en dessinant en direct sur scène un accompagnement visuel projeté sur grand écran, derrière les comédiens – chanteurs - improvisateurs. De 2016 à 2019, Aurélie est élève de Jean-François Courteaux à l'Atelier des Beaux-Arts de la Ville de Paris of renoue avec la pratique de la peinture. Sont présentées à Lil Art ses dernières recherches autour de la danse et de paysages locaux !


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J’ai commencé par faire du collage sur des formats A4 et, en allant à Lisbonne, j’ai rencontré une personne qui utilisait des boites de conserve pour ses créations. J’ai alors, eu l’idée de donner une deuxième vie aux boites de sardines, maquereaux en les transformant en magnet. Chaque magnet a un titre propre qui lui donne tout son sens. Je fais aussi du collage dans des cadres 3D.

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Depuis l'enfance, j'ai été orientée vers la peinture. J'ai pu faire une formation à distance. Je continue à pratiquer cette discipline, en parallèle à mon activité professionnelle et en profite pleinement depuis la retraite.


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Le travail artistique d’Anaïs Lacombe résulte de l’observation constante et minutieuse de son environnement, de sa vie quotidienne, d’images glanées – films, livres, internet, expositions — et d’objets collectionnés. Nés de ces différentes rencontres, ses dessins nous invitent à contempler les mondes qui nous entourent. Ils prennent également source dans l’intime, le vécu, les souvenirs et les émotions ressenties. À travers les paysages qu’elle compose, elle retranscrit le réel et l’ordinaire, dans un univers à part, rempli de détails, invitant le spectateur à des promenades imaginaires. Son dessin s’exprime dans différents langages plastiques au travers de techniques tels le crayon, la gravure, la sérigraphie, ainsi que sur différents supports comme ceux de l’illustration, de l’estampe et du livre d’artiste.

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J’aime faire des photos d’endroits qui me plaisent ou attirent mon attention. J’aime l’esthétique de
l’environnement urbain. Mon envie est d’associer mes intérêts et de les matérialiser pour les faire
partager. Mon exposition participe de l’envie de présenter le quartier où je vis et certaines scènes
de vie que j’ai figées dans l’instant.
J’ai un premier volet « scrap » avec des collages de photos (photo 1) qui me permet de présenter
les sujets dans un univers coloré, ludique et parfois féerique. Les enfants et les animaux sont une
source d’inspiration pour moi.

J’ai un volet photos dessinées pour la partie habitat (photos 2, 3, 4 et 5). C’est une association
photos/dessins. C’est une retranscription de ce que je vois et que je redessine. Mes dessins réalisés
se rapprochent de la ligne claire.

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J'essaie, par la photo et la modification d'image qui s'en suit, de montrer et créer un monde fantastique. Essayer de rendre la photographe, un art qui capture un moment réel, de le rendre irréel.

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Pierre Genouvrier travaille dans son atelier aux Lilas, s’en échappant régulièrement pour aller à la rencontre de la faune vivante qui est devenue au fil du temps son sujet de recherche.
Ses sculptures abordent la faune en mouvement, s’inspirant du bestiaire préhistorique dans l’art pariétal, mais aussi des expérimentations du futurisme et de la décomposition du mouvement dans le cinéma d’animation.
Ce travail s’appuie également sur la paléontologie et le travail des biologistes de l’évolution.
Il s’agit pour lui d’essayer d’appréhender une espèce, une branche du vivant, en ne représentant pas un individu, mais une multiplicité d’êtres mouvants.

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Patrick Mallet est né à Genève, en Suisse en 1970 et travaille à Paris depuis 1996 en tant que scénariste et dessinateur de bandes dessinées. Il est également éditeur et traducteur pour les éditions MNEMOS depuis 2018.
Fasciné par la littérature, il adapte une partie des « Mémoires » de Casanova (« Casanova sous les Plombs de Venise »). Il écrit ensuite ses propres histoires avec « Achab », une série dans laquelle il imagine la vie du héros de « Moby Dick » d’Herman Melville.


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Mon univers croise plusieurs disciplines artistiques et s’enracine dans mon enfance. Mon père, artisan dans la confection, dessinait souvent à la maison. Cela m’a inspiré. De lui je tiens ce goût pour la matière et les formes. C’est leur mélange qui me sert à trouver les thèmes que j’explorerai par la suite. Des mondes aquatiques de l’enfance aux corps féminins en passant par les paysages oniriques, mon univers peut se résumer ainsi : l’expérience de la matière. C’est cette expérience qui me fait sortir de la surface plane pour devenir sculpture. Celle-ci peut prendre toutes sortes de formes : des plus petites (pendentifs, colliers, bagues, coupelles...) aux objets détournés de la vie quotidienne (lampes-sculptures…). Aussi, on pourrait dire qu’une autre caractéristique de mon travail serait la transgression mais toujours à partir de la matière (argile, verre…).


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Mon travail est une recherche de la luminosité et des vibrations colorées. J’aime les couleurs, leurs contrastes, leurs harmonies. Je vise en même temps la simplification, le décodage le plus direct possible des lumières colorées imbriquées, des harmonies qui composent les paysages.

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Artiste-peintre, peintre en décors trompe-l’œil, exploratrice dans l’âme, Annick Vavasseur vous invite à découvrir ses univers, entre rêves et réalités. Ses peintures nous emmènent dans des mondes sans frontières où se fondent, souvent, magie, onirisme, surréalisme.

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Paysages, portraits, constamment renouvelés, ainsi que les outils, encres, gouache, aquarelle, crayon.

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Sous l'anagramme artistique Gille Monte Ruici, je réalise des assemblages de robots, à partir de matière métallique recyclée. En ce sens la thématique du "Nos futurs" percute à la fois l' imaginaire collectif au travers de la présence du robot qui d'ores et déjà aujourd’hui est utilisé dans énormément de domaines de notre quotidien et le sera davantage à l'avenir, mais interpelle également sur notre rapport à la consommation, au gaspillage, à l'obsolescence. Je n'utilise que des pièces de récupération avec l'idée de leur offrir une seconde vie artistique en les détournant de leur vocation originale.

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Ses études universitaires en gestion ont été menées à Bogotá, sa ville natale, où elle a également commencé sa carrière artistique, s'aventurant dans la photographie et la peinture. Multi facette, elle travaille actuellement comme thérapeute énergétique et artiste peintre. Son parcours est assez atypique. Inscrite aux ateliers pluridisciplinaires des beaux-arts et les ateliers du Louvre et de restauration d'œuvres d'art à Paris, la ville où elle vit, son esprit agité l'a amenée à explorer et expérimenter diverses techniques de peinture.

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Etant artiste peintre, je me consacre à la peinture depuis plusieurs années. Je crée mes propres œuvres et effectue en même temps des recherches sur les formes et les couleurs.
Je peins sur des supports variés : toile, papier verre, etc… Ils sont pour moi une source de motivation et influencent mes différentes façons de peindre.
J’explore aussi des techniques différentes pour réaliser mes œuvres. La peinture est, pour moi, une belle aventure qui n’est pas près de prendre fin.

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Avec la photographie, on peut figer l'instant et le rendre intemporel. Cet instant est inestimable car il est unique et éphémère. Ce qui m'inspire c'est le fait d'exprimer à travers la photographie la beauté de cet instant. Que ce soit dans les paysages, les errances des êtres, les pierres, les arbres ou de simples herbes, la beauté est partout.

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Petit gribouilleur explorateur de l'étrange, traversant monts horrifiques, fleuves poétiques et plaines biomécaniques, deviendra, un jour peut-être, grand peintre ambulant... J’aime dessiner et questionner les corps, me confronter au bizarre et à l’indicible, montrer l’horreur et les merveilles des mondes de l’étrange qui me fascinent.

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Les créations de Didier Frydman, réalisées en carrelage découpé, portent sur le rapport de l’homme, représenté par ses réalisations (villes, rues, phares, labyrinthes …), à la nature, tout à la fois belle, grandiose, hostile, dangereuse, démesurée, qui oppose à l’homme des cieux lourds de menaces, des gouffres, des falaises abruptes, des immensités tantôt océaniques tantôt désertiques et arides. La ville verticale face à la nature évoque, à l’instar de la tour de Babel, les vaines tentatives de l’homme de défier le temps et la mort. L’homme bâtisseur apparaît dans sa petitesse et dans son désir de se rassembler, de s’élever pour réaliser ses ambitions. Les forces de la nature peuvent à tout moment le détruire et réduire à néant ses rêves d’éternité, de puissance et de grandeur.

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Pour 2023, comme à mon habitude, une thématique unique “le règne animalier”
Deux collections en perpétuelles évolutions :
- “ANIMAMORPHOSES”, présentant des photomontages animaliers, association de mes propres photos animalières et de vieux tirages de l’époque Victorienne, de l’ère Meji, des peuples Améridiens, des Années Folles à Paris, ou de Vieux Films des années 30’ à 70’.
- “EPHEMERES”, Duo-Mix de photos animalières et de Graphs urbains (ma propre photothèque animalière associée à des graphs urbains photographiés dans de nombreuses capitales d’Europe (Paris, Barcelone, Lisbonne, Londres, Berlin, ...)
J’y joindrais des tirages plus classiques Noir & Blanc d’animaux photographiés en liberté (Kenya, Cap Vert) et en Parc animaliers et certains dessins (crayons, fusains, craies, sanguines)


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Mon travail photographique (argentique comme numérique) est basé depuis une vingtaine d’années sur la traque des traces que laissent le temps, les citadins sur l’environnement, des marques des assauts du temps sur les éléments immobiles....
Cette démarche offre le paradoxe d’ouvrir un champ infini des possibles. Les détails des murs effrités, des peintures érodées, du bitume, des bandes passantes usées par les usagers donnent naissances à des images oniriques invitant le spectateur à un voyage immobile. C’est aussi l’occasion d’étudier l’altération des surfaces comme autant d’empreintes anthropiques.

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L’univers artistique des membres de l’Atelier aux Lilas est très varié selon les techniques pratiquées : Gravure en taille douce, taille d’épargne (sur bois et lino), sérigraphie, typographie, reliure, photographie argentique.
Ce qui produit des livres d’artistes tout aussi variés.
Chaque artiste ayant un univers personnel, il sera attiré vers une technique qui lui sera propre.

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Enseignant à la retraite. Home artist. Artiste autodidacte, chasseur photo de street art qui se spécialise dans le pochoir sur vinyle.

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Mes dessins illustrent ce que je ressens, pense ou imagine. Ils reprennent des éléments
iconiques, des symboles omni-présents dans la mémoire collective, signifiants sans
détours, clairs et partagés. Sans complexes, ils font sens à la façon de pictogrammes, tout
en gardant pour autant une rélle liberté d’interprétation paradigmatique.
Je me suis souvent sentie incomprise jusqu’à ce que je trouve un écho familier dans des
dessins, des tableaux, des textes, des livres, de la musique et ainsi, presque
instinctivement, quand je me suis mise à dessiner j’ai réutilisé ces codes de la pop culture
et de l’underground : ils me parlent, m’atteignent d’une façon particulière.
J’ai mis de moi dans ces dessins,
beaucoup,
j’y ai laissé l’esprit guider mon geste et se réapproprier peu à peu l’évolution de mes modes
d’expression comme une écriture qui se construit pas à pas

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Par mes collages, je cherche à souligner la beauté et la fragilité de la nature que l’intervention humaine peut à la fois magnifier ou détruire. Ainsi, d’une œuvre à l’autre, le spectateur passe d’œuvres graciles alliant la légèreté et la transparence à d’autres, pleines, denses et rugueuses.

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Nous sommes plasticiens, sculpteurs, performeurs, photographes, conteurs, peintres, dessinateur, vidéaste et nous partageons l’envie de lier nos travaux, nos expérimentations à un engagement humaniste et poétique commun dans le cadre d’actions collectives. L’association Collectif Accalmie a pour objet le maintien, le renforcement, la redécouverte et la création de liens intra et interpersonnels, par le biais de pratiques artistiques ou en lien avec l’art. Pour nous, La création, plus qu’un divertissement, peut être un refuge, une boite à outils qui développe nos capacités d’adaptation, d’écoute, de transformations intérieures et sociales. Les artistes du le collectif sont Agathe Lepoutre, Antoine Janot, David Chapuis et Judicaël Eymard.

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Je crois en la poésie qui nous aide à appréhender notre quotidien et aux couleurs qui se frottent les unes contre les autres pour tenter de nous raconter et faire émerger nos imaginaires. Très souvent, une part enfantine se glisse dans mon travail, parfois à mon insu, peut-être parce que l'enfance et la poésie cohabitent en toute simplicité.

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La création étant surtout, pour nous 3, un temps de récréation, nous nous autorisons à toucher à tout. Notre matériel créatif de prédilection : le verre, le fil, la laine, les bijoux…
Notre besoin d'échange nous amène souvent à des créations communes. Notre collectif n’est pas un espace fermé, nous associons souvent des amis ou des proches à la réflexion, et parfois même à la création. Notre projet créatif est surtout un projet collectif permettant de développer le sens du mieux créer ensemble pour mieux vivre ensemble !!

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DMes gravures sont nourries par les analogies entre l’infiniment petit et l’infiniment grand qui me guident dans chacune de mes créations… Mes voyages en Europe, en Laponie, au Mexique puis en Asie (Japon, Corée) ont aussi et sans aucun doute nourri ma production.

J’ai travaillé sur le thème du poisson pendant de nombreuses années, puis autour des légumes, des fruits, leurs structures internes. Enfin j’ai aussi développé un thème plus vaste autour de la nourriture en référence aux pays traversés pendant mes voyages.

Actuellement je continue mon travail sur la lecture et interprétation de la Genèse dans la Bible et autres textes bien antérieurs comme les lois de Manu, les correspondances avec La Création, la Naissance de l’Etre, le Commencement de la Vie, la Beauté, la Fragilité. Cette année je souhaite les exposer si c’est possible au théatre du Garde Chasse.

En parallèle je créée et édite des cahiers d’activités que je nomme « Coloriages POP UP » et que je fais imprimer également en Seine St Denis, à la Courneuve !
5 nouveaux sont sortis à la mi-octobre 2022, 2 autres ont été reedités. Ils sont imprimés en toute petite quantité. Ils sont destinés aux enfants, adolescents et adultes suivant les thématiques choisies et permettent de fabriquer des cartes en volumes (coloriage, découpage, pliage, collage).


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Je me considère un artiste polyvalent, puisque je travaille le volume (mobiles), la peinture,
essentiellement à l'huile, et la gravure, avec une préférence pour la taille-douce. C'est cette dernière
qui constitue actuellement mon activité principale, car le fait de produire des multiples la rend plus
accessible à la vente, sans passer par les galeries. La pratique de la gravure m'a amené aussi à la
typographie et j'ai pu apprendre avec des mécaniciens la mécanique des presses.

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Mon univers artistique est la nature, la vie que nous voyons et celle que nous ne voyons pas, l’homme. Mon univers est l’énergie qui nous fait vivre.
Mon inspiration je la trouve dans des thèmes qui me font rêver moi-même… des éléments réels, de la vie quotidienne, de mon passé, de la nature, de mes rêves, de mes désirs et de mes croyances. Il y a toujours une histoire, un monde et des rêves dans mon travail… La mythologie et la cosmogonie mexicaine sont présents dans mon travail, cela est comme faire revivre d’autres mondes du passé et leur donner sa place.
A travers une peinture à la fois figurative mais imaginative, qui pourrait avoir des teintes de peinture naïve, je retrouve la forme d’exprimer et retrouver une libération de sentiments, des représentations mentales ainsi que d’interprétations d’une nature morte ou vive…
J’aime la couleur et la lumière. Les couleurs, la façon dont mon pinceau et les thèmes trouvent sans y avoir réfléchi une inspiration ou un reflet de mes origines mexicaines et surement une influence des peintres mexicains.
Mes techniques sont diverses, mais dernièrement c’est la peinture acrylique qui est plus présente dans mon travail.


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Julia Chevallier a une approche directe et intuitive de la peinture, elle aime se laisser porter par des associations de matières, de couleurs et des effets de transparence. Petit à petit le sujet émerge, apparaît.
Elle travaille et retravaille la composition, ajoute, enlève des éléments et de la matière, jusqu’à ce que la peinture se construise, sur papier ou sur toile brute.
L’artiste partage ses impressions sur le vif du monde qui l’entoure et se saisit de l’actualité ; tout particulièrement celle liée à la diminution de la biodiversité, la mise en péril des espèces.
L’artiste fait apparaitre une nature hybride, mutante, qui aurait survécu à l’urbanisme, et un être hybride : « l’homme des bois », qui aurait fusionné avec les forêts.
Les différentes techniques utilisées : encres, acrylique, marker, stylo Bic, lui permettent de varier les matières et les effets de textures, de transparences qui sont aussi importantes que le sujet lui-même.
Dans chaque tableau, elle nous embarque dans une histoire singulière et une palette de couleurs différentes, qui contribue à la structure et à la force de celui-ci.

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Passionné par la capacité de la photographie à révéler ce qui se cache à travers ce qui se montre, les images que Léo produit ne sont pas toujours ce qu’elles semblent-être. Elles explorent l’âme des hommes ou des objets, ce qui les anime ou les façonne, sans avoir
peur de les confronter aux non-dits, à ce qu’on ne veut pas voir, avec la sensibilité de ceux qui ont tiré de leurs blessures l’empathie pour les failles et les dérives, les à côtés, les moments difficiles, et tout ce qui fait de notre humanité à tout jamais une imperfection.

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Illustrateur et auteur de bandes dessinées depuis 3 ans. Je réalise la plupart de mes dessins sur tablette graphique. Ils sont ensuite imprimés en sérigraphie ou risographie.

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Je suis une artiste amateur, j’ai toujours aimé dessiner et peindre pendant mon enfance.

Plus tard, j’ai eu la chance de pouvoir suivre des cours de dessin et de sculpture avec des professionnels, et je me suis inscrite à plusieurs cours au centre culturel.
Cela fait près de 10 ans que je pratique la céramique dans ce cadre là, et cela me passionne toujours autant, si ce n’est plus !...

Je suis très inspirée par de grands maitres comme Chagall, Picasso qui a produit de nombreuses céramiques remarquables.

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J'ai créé un collectif éphémère, "Les Affichistes des Lilas", avec le propos de nous servir des techniques de l'estampe pour créer des affiches sur des thèmes actuels. Nous sommes 18 artistes membres de ce collectif. L'artiste a un rôle à jouer dans la réflexion sur notre monde contemporain. Les affiches s'offrent aux yeux des spectateurs pour nouer un dialogue sur des questions qui nous préoccupent au plus haut point, notamment la question de l'environnement, mais aussi de l'inégalité croissante, du sort des migrants, de la disparition des espèces... Les artistes de ce collectif travaillent sur ces thèmes depuis 4 ans.

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La sculpture évoque à travers des représentations suggestives, un monde de chimères organiques et de formes qui laissent cours à l'imaginaire, l'irrationnel. La créativité c'est donner corps à l'instant fugitif d'une image ressentie. Espace où se révèle mon univers artistique.

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LILATELIER est un collectif d’artistes depuis 17 ans aux Lilas. Sculpteurs, graveurs-, plasticiens, designer lumière, peintre, illustrateur.

Notre diversité est notre singularité et notre force-. Pour cette année 2022 seront présents sur l’évènement les artistes suivants :

NATHALIE MANGIN – SCULPTRICE
LEILA GAILARD- PEINTRE ET GRAVEUSE
FLORENCE SAGOTARIO- GRAVEUSE, ART THERAPEUTE ET PLASTICIENNE
DAVID TARBES – SCULPTEUR
CAROLINE BOUCHER - GRAVEUSE


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Ma photo est essentiellement axée sur le paysage urbain, sur la représentation de l’éphémère. Je m’inspire de la ville que j’aime observer, où toute cette richesse visuelle est bien vivante. Je choisis d’explorer la société sous tous ses angles et de l’illustrer sous tous ses aspects les plus variés. Ces mondes urbains sont riches, poétiques, violents. J’effectue un travail photographique contemporain.


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Mes sculptures abstraites et lyriques embrassent le ciel et la terre : le métal martelé, courbé, découpé jusqu’à devenir de la dentelle, soudé, brûlé ou fondu, rouillé, se métamorphose en volutes qui modèlent l’espace alentours, tergiversant entre pesanteur et envol.

L’équilibre subtil entre tourments et jubilation évoque des matériaux et immatériaux saisis
dans une danse ininterrompue : l’acier n’est plus, il est cuir, peau, flamme, eau, air, vibration.

La couleur ajoutée au matériau naturel accentue encore l’ambiguïté de l’œuvre, entre vie et concept.

Retrouvez-le sur le stand 115

Je créé des poupées singulières à partir d’éléments naturels ramassés au gré des promenades : bois flottés, fruits séchés, plantes diverses. ..J’ajoute des tissus anciens maculés par le temps ou neufs et colorés que je couds à larges points. Basé sur la récupération, mon travail s’apparente à la fois aux poupées magiques mais aussi aux marionnettes qui peuvent raconter des histoires.

Retrouvez-la sur le stand 130

Après un parcours dans la mode et le design entre Paris, Londres et Wellington, dont le fil rouge à été le dessin, Cyrielle André se dédie désormais à la pratique de la gravure et de l’illustration. A l’aide de ses gouges, pastels, encres et feutres, Cyrielle décortique le monde qui l’entoure, en particulier la sphère
végétale et le paysage, une façon de penser la relation de l’homme à la nature. Cyrielle observe avec attention lignes, couleurs et formes pour mieux les détourner et ouvrir des portes sur l’imaginaire. Qu’ils
soient en couleur ou noir et blanc, ces dessins sont toujours hauts en contrastes.

Retrouvez-la sur le stand 53

L’univers de mes dessins, ici, reflète le labyrinthe.
Labyrinthe dans lequel j’aime me perdre et où mon esprit, livré à lui-même, guidé par une force invisible, dirige mon stylo feutre en ces tracés complexes et totalement aléatoires, tel Dédale construisant la tortueuse prison abstraite du Minotaure. Cette architecture du trait, enfermée dans ces étonnants labyrinthes, paradoxalement, libère ma créativité.

Retrouvez-le sur le stand 73

Je dessine des arbres, des arbres penchés, des malades, des souches, des trognes… et je leur donne un prénom.

Retrouvez-le sur le stand 63

Mes travaux s’appuient depuis de nombreuses années sur les notions de vide et de plein, qui sont aux sources de la représentation picturale chinoise.
Sur papier de calligraphie ou bien sur toile, la représentation, essentiellement graphique, prend forme selon un mode qui me semble assez proche de celui de l’écriture, d’une écriture rendue partiellement automatique par le biais du lâcher-prise de la conscience, libérant affects, représentations mentales diverses, et paysages intérieurs.
Entre dessin automatique, peinture et écriture, le pinceau chemine, révélant la genèse d’un univers aux prédominances florales et organiques.

Retrouvez-la au stand 125

Mon inspiration est puisée à partir de photographies personnelles, dessins d’après nature, mon monde imaginaire. Mon travail se développe avec l'utilisation et la juxtaposition de techniques diverses : mine de plomb, acrylique, huile, aquarelle, feutre, encre, pastel gras et sec, autour des notions de territoire, identité personnelle et collective, en différents formats.

Retrouvez-la sur le stand 127

Je n'ai pas choisi l'éclectisme.
C'est la perspective d'une immersion jubilatoire dans des sujets qui n'ont en commun que l'éloignement du quotidien, qui m'incite au nomadisme sériel. Du tapis mille-nœuds aux néons déglingués au romantisme anglican, tout m'est matière à peindre l'éclectisme donc, pour la joie de l'Œil et de l'Esprit.

Retrouvez-le sur le stand 105

Retrouvez-la sur le stand 120

Dessinant depuis mon plus jeune âge, je pratique l’aquarelle depuis 2 ans. J’y trouve l’occasion de retranscrire les paysages, objets ou scènes aperçues d’un détour du regard – et alors pris en photo – et qui m’émeuvent, en voyage ou au quotidien et que l’aquarelle me permet de poser dans ma mémoire et de partager : lumières fugaces, couleurs intenses, atmosphères saisonnières… Je travaille d’après photos en essayant de mettre en valeur la scène de manière réaliste tout en conservant les qualités de l’aquarelle, mariage d’eau et de pigments, d’ombres et de lumières.

Retrouvez-le sur le stand 62

Plasticienne et scénographe, ma pratique du dessin et de la gravure est plutôt instinctive. Là où en tant que scénographe, constructrice d'accessoires, de marionnettes et peintre en décor, je réponds à une commande en creusant avec joie dans l'univers d'autrui, lorsque je dessine, je vogue plutôt pas mal au hasard. Le hasard semble s'intéresser à des formes animales hybrides, mi-sauvages mi-rigolardes, à des endroits marécageux, à des saynettes absurdes. Je dessine à la pierre noire et à l'encre de Chine, je grave sur linoléum, plaques de cuivre et zinc, et je réchauffe l'ambiance avec de tout petits fanzines déprimants.

Retrouvez-la sur le stand 91

Je créé de manière intuitive, principalement à l’acrylique et à l’encre, sans me soucier de règles établies.
J’explore, j’expérimente avec différents supports et tous les types d’outils que j’ai à portée de main. Je peins, je lisse, je gratte, je lave…
La terre, le ciel et l’eau sont souvent présents dans mes tableaux lesquels laissent à l’imaginaire sa part de rêve.

Retrouvez-la sur le stand 22

Je peins sur des morceaux de cartons de diverses formes que j’ai coupé moi-même pour varier des toiles basiques et pour faire une sorte de recyclage. J’utilise de la peinture acrylique.

Retrouvez-la sur le stand 69

Sonia Rousseau : Après des études d’Arts appliqués mon choix professionnel s’est tourné vers l’artisanat du métal. en parallèle j’ai poursuivi la pratique du dessin.

Dominique Bauer : Marionnettiste et factrice de masques, j’ai laissé ma compagnie « Le théâtre de la carotte sauvage » pour reconversion professionnelle dans l’enseignement. Aujourd’hui je m’intéresse aux techniques de cyanotypes et aux procédés de gravure.

Retrouvez-les sur le stand 96

André Thoraval a débuté comme assistant dans des studios de mode et de nature morte à Paris, dans les années 90. A travers ses photographies, il affinera son regard sur le cadre et la lumière, privilégiant des compositions au style épuré et esthétique. C'est par une recherche des formes et de la matière
qu'il s'orientera vers l'architecture intérieure. Depuis quelques années il mène un travail personnel sur la famille, la sienne en particulier. Il trace ainsi les contours d’une géographie intime.

Retrouvez-le sur le stand 135

Photographe de métier, pratique la peinture depuis 1998. J'aime beaucoup la matière : tissus, dentelles, partitions de musique ... Les danseuses dorées à la feuille d'or 24 carats. J'aime faire différents formats. Je fais aussi toujours de la photo artistique. J'aime beaucoup le noir, le blanc et le sépia.


Retrouvez-la sur le stand 83

Le CALEXQUIS, à la manière d'un “Cadavre exquis“, sera exposé sur les marches du Garde-Chasse. Venez retrouver la CONVERSATION DES IMAGES, postée par 11 artistes pendant 10 mois sur un groupe Internet en réseau et initiée par le collectif CAL&Co. Puis, venez jouer au Calexquis avec nous sur notre stand, où nos images seront devenues cartes à jouer et magnet's.
Avec Valéria Thomas, Jean-Claude Wetzel, Christine Madrelle, Joëlle Chemla, Martine Rosenzveig, Alain Piacentino, Pierre-Yves Fave, Annie Vernay-Nouri, Pascaline Simar, Sarah Piacentino, et Aydé Rouvière.

https://caletco.jimdofree.com/

Retrouvez-les sur le stand 129

Je pratique la sculpture depuis une vingtaine d'années sur différents matériaux : albâtre, serpentine, marbre, et dernièrement sur bois flottés, incrustés de mosaïques.

L'émotion est toujours le point de départ de mon inspiration. S'y ajouter ensuite une recherche continue des masses et des liquides dans les lignes. Le tout avec patience ... et passion.

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Illustratrice pour l'édition jeunesse depuis une vingtaine d'années, Jessica Secheret réalise des images personnelles et sérigraphie et linogravure.

Aussi, en parallèle de son dessin, elle développer sa marque Les Folies Douces où elle fabrique des produits pour les bébés (accessoires, doudous, vêtements).

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Avec la complicité d’encres végétales et leur dialogue avec des mots, je mets en œuvre un ensemble de tableaux consistant à jouer avec le petit, l’infime, la miniature. Les fonds aux teintes naturelles révèlent les encres obtenues de plantes ou de fleurs. Il m’arrive d’inclure des touches de broderie, de la gouache pour les fonds ou d’insérer des mini-collages.

Les mots que j’emprunte à mes pensées, mes lectures, sont notés sur chaque dos ou se déroulent sur la vitre.

Pour moi la miniature a la puissance de dire dans un espace concentré. Certaines existent pour leur sérénité, leur douceur, d’autres pour leur inclinaison à questionner ou à émerveiller.


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Photographe de rue, je mets en scène les lignes, les ombres, les lumières et les couleurs du quotidien dans des compositions graphiques et esthétiques. J'interroge du regard notre place au sein des villes.

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A contre-courant du préjugé selon lequel les piscines publiques seraient des lieux froids,
aseptisés et interchangeables, MokA révèle le riche potentiel d'infrastructures

urbaines qui favorisent la mixité à la fois sociale et générationnelle.
Au fil des longueurs ou des cours d'aquagym, l'imagination travaille tout autant que les
muscles.

L'univers de MokA joue avec les lignes, transforme les perspectives et modifie les lieux.
L'expérience est, pour le spectateur et à fortiori le citadin, une troublante et réjouissante
invitation au voyage mental, preuve que l'univers des bassins stimule l'imaginaire.
Bonne immersion !
Invitée cette année, Stéphanie Regerat, graphiste Lilasienne.

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Je suis une artiste pluridisciplinaire inspirée par la beauté de la nature. Je tire mon inspiration des saisons, des végétaux, des graines et que je travaille en peinture, en sculptant des livres, en teinture ou en tissage végétal. Fruits l'inlassables curiosités, mes cueillettes sont une invitation poétique à tisser des liens entre une brindille ramassée au creux d'un chemin et l'oeuvre unique dans laquelle elle s'insérera. L'ordinaire du quotidien devient raffinement.

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Diplômée d'un DMA Gravue à l'école Estienne, je travaille principalement la gravure sur cuivre, ainsi que sur bois et linoleum. Je réalise des séries d'illustrations gravées mettant en scène des personnages minuscules évoluant dans divers milieux, comme l'océan, la montagne ou la forêt, créant ainsi des histoires décalées, poétiques ou nostalgiques. Je réalise également des gravures représentant des milieux souterrains plus sombres et contrastés. Je cherche à donner une vision d'ensemble de leurs architectures, volumes, lumières, et des gens qui peuplent ces lieux.

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La Fête Sauvage propose des linogravures originales en tirages limités, gaiement engagées, luxuriantes et sauvages. La Fête Sauvage fait la part belle aux corps, aux corps féminins mais aussi masculins qui évoluent gaiement et librement, débarrassés de toute injonction à la perfection et éloignés des diktats de genre. Le féminisme, la sororité sont des thèmes qui me sont chers et qui s’inscrivent comme un leitmotiv dans beaucoup de mes linogravures.

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Artiste éclectique, Victoria Lacombe traite de l'humaine et de son inquiétante étrangeté. Entre collages et volumes, elle présente un univers teinté de paradoxe et chargé de symbolisme.

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Les Petites Feuilles naissent de la rencontre du dessin, de la peinture et de feuilles ou autres végétaux trouvés au gré des promenades en forêt. Les feuilles ou fleurs sont séchées puis façonnent, avec le dessin et la peinture, des images poétiques et vivantes.
Les Petites Feuilles nous content le vivant, sous toutes ses formes.

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